La Reine de lumière, tome 1 : Elora
De Mireille Calmel
Résumé officiel : Dix ans après, les enfants nés des héros du Chant des sorcières entreprennent d'honorer les missions inachevées de leurs parents ... Au château de Bressieux, grandit Elora, la fille d'Algonde recueillie par la duchesse Hélène. La fillette, aussi belle qu'intuitive, révèle depuis peu des pouvoirs étranges qui impressionnent ses parents adoptifs. Un jour, dans l'épaisse forêt qui entoure le château, Elora découvre un homme assassiné, et dans son habit une lettre mystérieuse dont elle s'empare. Cette lettre, c'est une lettre d'amour du prince Djem à la duchesse Hélène, la réclamant auprès de lui dans son exil italien. Et voilà l'aventure repartie ... Qu'ils soient devenus brigrand, princesse, vagabond ou sorcière, qu'ils affrontent le pape ou des fées maléfiques, tous connaîtront la passion, le drame et l'amour avant de parvenir enfin à la résolution des mystères
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J'ai attendu avec impatience d'avoir la suite du Chant des sorcières que j'avais juste adoré (malgré l'intense frustration de la fin) et j'avoue que sur ce premier tome, je suis assez mitigé.
Je comprends bien qu'avec un saut dans le temps de 10 ans, il faudrait remettre les choses en place et expliquer ce que sont devenus les personnages mais honnêtement, je trouve que l'histoire se traîne un peu et s'embarrasse d'intrigues dont on se passerait bien.
Mais j'ai quand même adoré retrouver les personnages de la trilogie, j'avais toujours autant envie de savoir si le destin allait s'accomplir et ce que Elora allait devoir affronter pour parvenir à sa destinée.
Et ce que j'ai vraiment apprécié c'est cet encrage dans la réalité, ce moment où la réalité se confond avec l'intrigue fantastique et où des personnages réels rencontres nos héros descendants des fées et des légendes d'Avalon!
La cruauté est présente plus que jamais dans ce tome, la cruauté bien humaine par contre cette fois, pas celle des être fantastiques et mauvais et on en vient à se demander pourquoi les êtres des Hautes Terres (Avalon) ont souhaité avoir des contacts avec les humains. Heureusement, il y a de la bonté aussi, dans les sacrifices de certains personnages qui acceptent de renoncer à ceux qu'ils tiennent le plus.
Je regrette juste de ne pas avoir eu de nouvelles de Mounia pour qui je suis très inquiète (pour d'autres aussi mais j'ai eu des nouvelles des autres alors ça va)
Mais surtout SURTOUT
- SURTOUT:
Je n'arrive pas à me remettre du fait que ça ne soit pas Mathieu qui ait libéré Algonde de sa malédiction
Et je ne suis pas sûre de bien comprendre l'intérêt de la dernière scène du livre mais bon... Faut être ouvert d'esprit ^^
Sur ce, je vous abandonne, je vais lire la suite dans l'espoir de mettre fin à la torture de l'attente!